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Des chutes, des chutes, des chutes

Publié le par la classe de CM1-CM2

En classe, nous avons découvert l’œuvre de Sandro Giordano, un photographe italien surtout connu pour sa série photographique humoristique intitulée "In Extremis (bodies with no regret)".

Dans cette série, Giordano a mis en scène des personnages dans des positions exagérément maladroites, comme s'ils venaient de trébucher ou de tomber, tout en tenant fermement des objets qui semblent importants pour eux.

Les scènes sont surréalistes, avec des corps figés dans des poses incongrues, mettant l'accent sur l'absurde et l'ironie.

 

Il est possible de découvrir ses œuvres  en suivant ce LIEN.

Des chutes, des chutes, des chutes
Des chutes, des chutes, des chutes
Des chutes, des chutes, des chutes
Des chutes, des chutes, des chutes

Cette approche de l’humour absurde a inspiré les CM2 qui se sont lancés à corps perdus dans leur propre série de chutes factices.

Ils ont donc été pris en photo dans des postures inspirées de ces œuvres, mettant en avant l'humour et l'absurde à travers des scènes où ils semblaient avoir eux-mêmes avoir chuté tout en tenant des objets importants pour eux.

Les élèves ont eu la liberté de choisir eux-mêmes les lieux de la prise de photo : la petite cour, la grande cour avec les jeux, la classe ou la bibliothèque.

 

Dans la petite cour
Dans la petite cour
Dans la petite cour
Dans la petite cour
Dans la petite cour
Dans la petite cour

Dans la petite cour

Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour
Dans la grande cour

Dans la grande cour

Dans la classe
Dans la classe
Dans la classe
Dans la classe

Dans la classe

Des chutes, des chutes, des chutes

Ce travail autour de la photo a permis aux élèves d’explorer la créativité visuelle et l'expression corporelle, en s'inspirant du style unique de Giordano, qui joue sur les contrastes entre des corps en déséquilibre et des objets du quotidien.

Le fait qu'ils aient sélectionné leurs propres lieux de mise en scène a ajouté une dimension personnelle à l'exercice, tout en renforçant leur autonomie dans la conception artistique du projet.

Cela a surtout été un moyen ludique d’aborder la photographie et l’expression artistique tout en s’amusant cette veille d'Halloween.

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